Maria-Letizia Ramolino, ce nom vous dit quelque chose ? Non allez, je vous mets sur la voie, il ne s’agit pas d’un nouveau membre du Volley Loisirs club de Castelmaurou…
Langue au chat…
Et bien cette brave dame nous a quittés en…1836, mais elle nous laissés cette belle expression : « Pourvu que ça dure » à propos de son fils, un certain Napoléon Bonaparte. Cette maxime fut en effet créée au moment des victoires de sa progéniture qui s’enchainaient.
Quel rapport avec Castel 1 ? Je pourrai vous dire qu’à défaut de couronner une impératrice du piment (et pourtant sur quasiment une balle de set, Maga nous a gratifiés d’un service proche du soleil d’Austerlitz) nous avons sacrés le vieux grognard Daniel et son superbe amorti à deux mains, resté parallèle du filet, mais dans notre camps, juste au niveau du passeur…
Je ne parlerai pas non plus des plongeons de Patrick, proche de la piscine, style…water…l’eau ou de l’esquive d’un boulet par Delphine qui a évité l’impact (ce qui rarissime pour être souligné) voire d’Ingrid qui avec Joël rivalisaient pour tenter en même temps… « une corse ».
Il n’empêche que quoi qu’il arrive la première victoire de la « une » face à Tournefeuille 2 (septième du précédent championnat en excellence A) est une performance digne des triomphes du César français.
Cet article reconnait de facto, une première victoire…mais « pourvu que ça dure »…

(11-25) ; (25-23) ; 20-25) ; (17-25)