Et oui, pour ce premier match de la saison, nous nous sommes « coltinés » (que je pourrai écrire Colti…nez en référence, à qui vous savez) une équipe promue qui nous en a fait voir de toutes les couleurs.
Au premier set, nous étions tendus comme une arbalète, face à une armada qui n’a pas hésité à dégainer, nous infligeant un 19-25.
Réajustement au deuxième set, le vieux tromblon sort (Jo Dalton) et le pistolero « Pat » Garrett fait son entrée, pétaradant (vous connaissez tous son art, pour jouer superbement de cet instrument que lui a donné la…nature) sur le terrain, au point de se répandre…deuxième opus…18-25.
Deux sets à zéro, certains novices de notre club, pensaient que notre fin était proche, et que criblés de balles (d’où l’expression, avoir des trous de…) nous allions mordre la poussière…eh eh eh…non Zorro n’est pas arrivé…mais le bon, la brute et le truand sont entrés dans l’arène, prêts à affronter ce nouveau duel face à eux-mêmes…résultat 25-20.
Dans le quatrième, Vanessa métamorphosée en Calamity Jane a fait mouche à chaque tir, quant à Delphine, elle relevait toutes les bastos adressées, pendant que Lucie (attends, je vais trouver…je l’ai sur le bout de la langue…) bref 25-13…un carton plein.
Au cinquième et dernier set, après un 10-10 score à suspens et une attente insoutenable, l’équipe « une » a forcé son destin avec un ultime « clint » d’œil final à 15-12.
Il était une fois…la révolution